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Cette carte du début du XIXe siècle, attribuée au sulpicien Charles Bédard, montre la répartition des Côtes de l’île de Montréal avec leurs numéros de lots limitrophes. Les numéros de lots correspondent à ceux du Terrier de l’île de Montréal, utilisé jusqu’à la fin du régime seigneurial, allant du numéro 1 à l’extrémité ouest de l’île, jusqu’au numéro 1376 à l’extrémité est. Plusieurs de ces côtes existent toujours! Pouvez-vous les identifier?! Reférence : P1:E.18/10 ...

Le Château Ramezay présente, à partir de ce samedi, une exposition temporaire retraçant l’histoire du régime seigneurial au Québec. Cette exposition, réalisation du Musée de la mémoire vivante de Saint-Jean-Port Joli, a été augmentée d’une 2e exposition portant sur l’héritage des Sulpiciens comme seigneurs de l’île de Montréal. Ne manquez pas la chance de découvrir plusieurs pièces et documents conservés par l’Univers culturel de Saint-Sulpice, prêtés gracieusement pour cette exposition. Du 23 mars ...

Parmi les pièces inédites de la série des cahiers de notes sur les seigneuries des Sulpiciens se trouve la "Liste des personnes qui ont affranchi leurs propriétés en vertu de l’Ordonnance 3e Vict., Ch. XXX" de 1840. Il s’agit de la liste des premières personnes à être officiellement devenus propriétaires de leur lot à Montréal, avant même la fin du régime seigneurial. En effet, l’ordonnance émise par le gouvernement britannique confirmait la propriété ...

L’église Saint-Patrice, sise sur l’actuel boulevard René-Lévesque, a été érigée et financée par les Sulpiciens à partir de 1843 pour répondre aux besoins de la population irlandaise grandissante. Il s’agit de la première église de la ville à desservir la population catholique anglophone. Le sulpicien Patrick Dowd est nommé à la cure de l’église en 1848. Irlandais d’origine, il est invité à servir ses compatriotes des faubourgs Saint-Anne et Saint-Laurent et de Griffintown ...

L’Univers culturel de Saint-Sulpice a récemment entrepris le traitement d’une série de cahiers de notes inédits se rapportant à deux seigneuries des Sulpiciens, celles de l’Île-de-Montréal et de Saint-Sulpice. Rédigés entre 1695 et 1841 environ, ces cahiers ont, pour la plupart, servi d’aide-mémoire pour les représentants des seigneurs lors de visites à la rencontre des censitaires. Ils renferment notamment des plans, des mesures de terrain, des notes sur les cens à payer, mais aussi ...

Aujourd’hui paraît le livre Les peintres de la Montée Saint-Michel de l’auteur Richard Foisy, publié aux Presses de l’Université de Montréal. Cet ouvrage fouillé retrace le parcours et la production de ce groupe de peintres montréalais méconnu, réputés avoir pratiqué leur art dans le domaine Saint-Sulpice à partir de 1911. Deux messieurs de Saint-Sulpice ont longtemps soutenu le groupe : Mgr Olivier Maurault, qui le premier publia un texte sur ces artistes, et Émile Filion, qui organisa leur première ...

Le 29 février 1692, les sulpiciens Dollier de Casson et Léonard Chaigneau signent l’acte de concession d’un emplacement alloué à Bénigne Basset, premier notaire et greffier de la ville de Montréal, entre sa maison de la rue Saint-Joseph et la muraille de la ville. (P1:6.48-356)

Hier, le 21 février, l’Univers culturel de Saint-Sulpice a reçu Jean-François Palomino, professeur au département d’histoire de l’UQAM, et les étudiants de son cours La Nouvelle-France et l’Amérique du Nord britannique jusqu’à la fin du XVIIIe siècle. Le groupe a eu la chance de visiter les dépôts d’archives et de découvrir quelques-unes de ses pièces les plus anciennes. Parmi elles, « l’Acte de ratification de la Compagnie Notre-Dame des concessions faites par le Sieur de Maisonneuve en l’île de Montréal », l’Ancien terrier de la Ville ...